Je regarde ma femme caché dans le placard

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il y a 4 ans

J’avais envie depuis quelques temps que mon épouse, Anne, fasse l’amour avec plusieurs noirs bien montés. Le fait d’être « cocu » dans ces conditions ne me déplaisait pas. Une fois déjà je lui avais fait tenter l’expérience, qui s’était révélée désastreuse, car l’individu n’avait pas été hardi et pas du tout « surdimensionné ». Elle n’avait accepté que difficilement ce contact, bien qu’au bout d’un moment, elle se soit lancée dans l’action. Cette fois j’étais bien décidé à lui faire retenter l’expérience, mais avec des types qui n’auraient pas froid aux yeux, et bien dimensionnés ! Je tirais au Polaroïd des photos de ma femme nue, dans des poses hard, de manière à pouvoir la « présenter ».

Elle avait accepté cette séance se doutant bien de ce que j’allais faire.

Lors d’un passage à Toulouse, dans l’hôtel où j’étais descendu, je rencontrais en discutant avec le réceptionniste qui est arabe, un noir, Moussa, qui semblait être son ami. Nous avons bavardé tous les trois, la conversation venant naturellement sur les femmes, j’ai lancé « tiens, justement j’ai une amie à qui je voudrais bien faire rencontrer des blacks, pour une soirée chaude ! »

Je leur montre les photos, ils jugent sur pièce. Ils trouvent ma femme à leur goût, ne manquant pas de faire au passage quelques commentaires grivois sur ce qu’ils comptaient lui faire subir.

Je leur proposais donc cette amie pour la « dresser » un soir, ils pourraient la prendre dans ma chambre, je ne viendrais que 2 à 3h après.

Ils pouvaient lui faire subir tout ce qu’ils voulaient, sauf du SM, ou de la v i o l ence. S’ils avaient des copains bien montés, qu’ils viennent avec eux. 3 types ne lui feraient pas peur, elle est profonde, disponible dans tous ses trous, docile et elle aime la baise ! Ils acceptent mon offre ! ! !

Le soir je téléphone à ma femme lui, disant que des amis à moi « désirent la rencontrer ». Elle comprend ce que je veux dire, et accepte de venir à Toulouse. Je lui explique qu’elle sera prise en charge à la réception de l’hôtel par un type et qu’il faudra qu’elle soit docile et fasse ce qu’il lui demande, je ne serai pas là, elle n’est pas très contente de cette absence, mais elle dit qu’oui, elle accepte.

Après avoir renseigné mes amis sur l’heure d’arrivée et des dispositions prise avec Anne, je leur laisse le champ libre. Moussa me dit qu’il fera venir si possible un Sénégalais bien monté et que de toute façon, ils seront au minimum 2, car il a un frère qui vient d’arriver d’Afrique, qu’il n’a jamais baisé de blanche. Ton amie pourra le « dépuceler ». Je suis satisfait de l’aubaine.

Quelques minutes avant l’arrivée de ma femme, je sors de la chambre, et sans la refermer, je porte la clef au tableau et revient me cacher dans l’armoire KZ, laissant une ouverture de 3cm qui me permet de voir la pièce et surtout le lit.

Après une attente d’un quart d’heure, j’entends un bruit de pas et de talons aiguilles dans le couloir ainsi que des murmures de voix. La porte s’ouvre, la lumière se fait, ma femme apparaît sur le seuil, suivie par deux noirs, mon copain et sans doute son frère. Elle porte une jupe et un chemisier d’été, assortis, en mousse de soie, le tout boutonné sur le devant.

Elle pose son sac et reste immobile au milieu de la pièce, un peu provocatrice. Ne sachant qu’elle attitude adopter devant les deux hommes, soit une désinvolture affranchie et coopérative ou bien demeurer passive comme une esclave dont on peut se servir à son grés ?

Mon copain rigole et lui dit qu’ils ont déjà vu les photos, et que maintenant ils veulent profiter du modèle .Mais avant il lui dit que si elle n’obéit pas, si elle n’est pas docile elle risque de voir arriver d’autres copains à eux, moins sociables, et avides de blanches car toujours sur des chantiers. Anne hoche la tête et murmure un oui. Son frère, a les yeux qui lui sortent de la tête en regardant ma femme qui est fort appétissante, déjà une bosse imposante se dessine sur le Jean. Mon copain annonce à Anne qu’elle commencera avec Said, qui n’a jamais baisé de blanche. Il faut que tu sois gentille avec lui ! Le jeune est nerveux, pressé de posséder cette blanche magnifique, avec des seins imposants sous le chemisier tendu,il s’approche et commence à la peloter à travers le tissu. Il se décide enfin à lui parler, lui demande si elle aime les « grosses » ?

-Si elle n’a pas peur ?

-Elle dit que non ! . Il en profite pour d’une main lui malaxer les seins, et de l’autre faufiler ses doigts vers les cuisses de ma femme et lui tâter le sexe.

-Alors pas peur ? Insiste- t- il, un doigt dans la fente chaude et gluante, que j’entends clapoter d’où je suis.

-Elle hoche la tête, moins sur d’elle.

Ce qui fait rire les deux blacks.

-Aller déshabilles toi !

Confuse et craintive, Anne entreprend d’ôter son corsage, sa jupe. Elle défait les boutons lentement ce qui exaspère ou excite un peu plus les deux hommes. Elle apparaît en soutien gorge et slip brésilien en dentelle, bleue marine. J’aime bien ces sous-vêtements qui mettent en valeur sa cambrure et ses fesses. Ce qui ne laisse d’ailleurs pas insensibles les deux noirs.

-Aller, fait vite, à poil ! Lui intime Saïd.

Elle dégrafe le soutien-gorge qu’elle fait tomber avec un mouvement d’épaules, libérant sa généreuse poitrine, du ( 95 C), puis lentement, fait rouler et glisser son slip sur ses hanches, lève les jambes doucement pour se débarrasser du frêle tissu, consciente du trouble qu’elle procure chez les deux hommes, durant ce strip-tease improvisé.Quand elle est complètement nue, elle reste immobile au milieu de la pièce, sans trop savoir que faire, dissimulant ses beaux seins sous ses bras croisés, un peu honteuse de son impudicité, livrée aux regards salaces des 2 Blacks. Mais heureuse d’avoir pu se mettre en valeur devant eux, et d’être désirée.

Lorsqu’elle tourne la tête vers Saïd, elle comprend pourquoi il lui avait posé cette question malséante tout à l’heure : son membre érigé a des dimensions inusitées habituellement. C’était certainement une des plus grosse pine qu’elle n’ait jamais vu : toute noire mate, dressée, combative, avec un gland turgescent en guise de tête chercheuse. De quoi angoisser une femme ! Saïd s’approche d’elle.

-Prend la dans ta main! ordonne –t-il, tout en lui caressant les fesses.Non sans quelques appréhensions, Anne obéit. La main enveloppe la hampe érigée, dure comme du marbre de son vis à vis.

Troublée par le contact de cette dure virilité, elle ne peut s’empêcher de la serrer d’avantage, sentant au creux de sa main battre l’intensité B e s t i a l e du désir de l’homme. Saïd ne bougeait pas, épiant sur le visage de ma femme l’effet que lui produisait cet attouchement.

Le regard d’Anne devenait flou, elle respirait plus vite, mais ne lâchait pas prise !

Saïd lui saisit tout à coup la tête à deux mains, et lui applique sur la bouche un baiser goulu, et glisse entre les lèvres ourlées de ma femme une grosse langue rose, qu’il pousse loin dans la gorge d’Anne. Sorte d’allusion au moment où il lui fourrerait sa bite enflammée au fond du con.

Il la relâcha au bout d’un moment, Anne eu un sursaut, et en dépit de sa promesse d’allégeance, elle ne voulut plus se laisser pénétrer par cette brute obscène. Elle eut beau chuchoter « non » et tenter de se dérober, Saïd la poussa vers le lit, où elle tomba en pleurnichant, recroquevillée sur elle-même, m o r t e de peur, et montrant son cul adorable aux 2 noirs. Saïd ne savait plus quoi faire. Mon copain vint à la rescousse et lui dit : c’est toujours comme çà avec les femmes de couples, elles ont souvent la trouille, moi çà me fait bander, (ce qui était vrai, maintenant qu’il était lui aussi à poil). C’est la première fois qu’elle baise seule avec un inconnu « nègre » de surcroît ! Tu vas voir, elle va trembler et fermer les yeux quand tu vas l’introduire, elle fait çà pour faire plaisir à son mari ou son jules, alors n’hésite pas, bourre l’à fond et fait la jouir et gueuler. Son copain est d’accord ! .

Ma femme s’est calmée en entendant Moussa.

Elle finit par se retourner sur le dos et relever les genoux, écartant ses cuisses qui dévoilent son trésor aux deux hommes en rut. Mon copain en profite pour la caresser et introduire ses doigts dans la chatte et le cul offerts de ma femme. Il lui suce le clitoris un moment, Anne laisse échapper quelques râles, signe qu’elle est calmée et réceptive. Il s’écarte et laisse la place à Saïd qui n’en peut plus d’attendre. Celui-ci avance enfin son sexe du vagin offert de ma femme, et commence à caresser son gland sur le clitoris déjà excité, s’amusant des réactions de cette blanche livrée à sa lubricité. Il lui dit :

  • Ouvre les yeux et regardes bien ce que je vais te foutre !

Mon copain releva la tête d’Anne pour qu’elle puisse voir la domination masculine.

Saïd s’introduisit d’abord lentement pour apprécier le plus longtemps possible cette prise de possession d’une blanche, lorsqu’il se sentit à l’aise, qu’Anne lubrifiait bien, il finit de la pénétrer d’un magistral coup de reins qui arracha un petit cri à ma femme. Elle avait les yeux agrandis, se mordait les lèvres. Saïd l’avait empoigné par les seins, il les pétrissait gaillardement, pinçait leurs mamelons, au point de lui faire du mal. Il reste logé en elle, massif, insolent, guettant les réflexes de la femme clouée sous lui. Les mains avides des deux hommes parcourent le corps et la chair soyeuse de ma femme, se rejoignent sur son ventre, caressent l’intérieur des cuisses, remontent sa toison pour chatouiller les lèvres du sexe écartelé.

Anne est embrochée à fond, elle a reçu cette énorme bite sans se rebeller.

Saïd s’accroche fermement à ses hanches, je vois ma femme creuser ses reins pour s’offrir au maximum. Elle rentre dans le jeu. Une série de chocs sourds révèlent avec qu’elle ardeur il la possède, l’ébranlant tout entière à chaque poussée. Soumise à ce rut effréné, elle ne peut bientôt plus contenir ses réactions : ses ongles griffent la literie, elle ponctue d’une plainte offensée chacune des intrusions de ce phallus impétueux qui excite en passant son clitoris dilaté et turgescent. Le sexe d’Anne est distendu, il mouille, laissant des traces blanchâtres sur l’énorme piston noir qui s’agite en elle.

-Ouiiiiii ! A fond, prends-moi à fond.

-Ouiiii ! Encore, j’aime.

-Comme çà, ouiii, cogne. Quelque fût la honte de cet accouplement qui lui avait été imposé, il la faisait jouir avec une intensité affolante au point que perdant toute retenue, elle tendit sa croupe pour l’offrir mieux encore à son suborneur noir, dont les couilles d’un noir velouté, claquent sur le cul blanc de mon épouse.

-J’aime comme çà, encore, fort ! .

-Et là, tu aimes chienne de blanche ?

-Ouiii, vas y rentre à fond, crache ton jus !

-Vas à fond, tapes, encore, ouiiii, (elle est déchaînée).

Celui-ci entend bien besogner ma femme à fond et au maximum. Il se ménage des temps d’arrêt, maîtrise ses sens, puis se déchaîne à nouveau,arrachant des cris plus aigus à sa victime. Dans un bruit de clapotis du sexe de mon épouse qui marque ainsi sa satisfaction d’être malmenée. Finalement, incapable de se retenir plus longtemps, il enfouit profondément en elle son membre insatiable et l’inonde à jets répétés, de toute la f o r c e de son désir.

Ce qui porte au paroxysme les éclats de voix éperdus de ma femme qu’il a soumise, divinement t o r t u r é e par cet abondant outrage. Lorsque quelques instants après, Saïd se retire d’elle, elle n’a pas le temps de se redresser.

En effet, sensibilisée à l’extrême par ce premier coït, elle frémit de la nuque aux pieds, quand saisie à bras le corps, elle se sent envahie derechef par un pieu brûlant, celui de Moussa.

« Salope » ricane t-il, enchanté de la découvrir aussi béante et ruisselante. A moi de t’enfoncer maintenant.

Il ne s’en prive pas, sans doute excité par ce qu’il vient de voir avec son frère, donnant libre cours à l’exaspération de son désir contenu depuis un bon moment. Soit qu’elle éprouve de réelles sensations fantastiques, soit qu’elle a peur de ne pas être assez docile avec celui-ci, Anne sombre dans un plaisir qui confine à l’hystérie. Elle si prude d’habitude, elle crie carrément son contentement. Ses jambes accrochées aux reins de Moussa. Serait-elle pareille si elle me savait là ?

Cette étreinte tumultueuse s’achève dans un transport convulsif qui secoue les deux partenaires. Après quelques minutes de calme, le noir se dégage de ma femme, celle –ci s’empresse d’essuyer avec une serviette les liqueurs des deux blacks qui ont coulé sur ses cuisses, mouillant les petits poils de sa vulve, jusque dans la raie culière. Les 2 blacks s’approchent d’elle et lui disent « tu es une bonne pute, bonne baiseuse », on aime être en toi. Pour te le prouver on va te prendre à 2 maintenant.

Je sais qu’elle n’aime pas tellement çà, elle préfère être prise dans chaque trou par chaque homme, à leur tour.Ils s’installent de chaque cotés de sa tête, leurs queues à moities bandées dans la bouche d’Anne, elle commence à les sucer, un par un, par petits coups de langue, avec ses deux mains en aller et vient pour les faire durcir au mieux. Ce qui ne tarde pas.

Les deux noirs se sentent prêts, ils entreprennent de caresser ma femme sur tout le corps et d’introduire leurs doigts dans sa chatte et son cul. Du coup sous les caresses Anne reprend du tonus et commence à bouger son bassin, ce qui fait plaisir aux deux acolytes, ravis de cette participation implicite, mon copain se met sur le dos et demande à Anne devenir s’empaler

sur lui, il lui dit de s’enfiler elle-même, elle s’exécute sans retenue contente à priori de glisser dans sa chatte cette grosse bite noire. Mon copain l’attire sur lui, malaxe les seins, et commence à s’agiter en elle pour finir de placer l’organe. Saïd lui passe les mains dans le dos et les fesses, s’attardant sur le petit trou qu’il mouille avec de la salive et introduit un doigt. Lorsqu’il juge le passage de mon épouse correct, il s’installe derrière elle et lui introduit par coups de reins successifs toute sa bite dans le cul.

Elle gémit et agite son bassin pour faciliter l’intromission, ce qui plait avant tout aux deux hommes, qui font des hans ! ! De bûcherons. Ils commencent à lui donner des coups de reins pendant plusieurs minutes, je les vois labourer ma femme en profondeur, lui arrachant des cris de plus en plus rapides, bientôt elle jouit encore une fois, ce qui permet aux deux

blacks de l’inonder de leurs liqueurs. Je vois leurs fesses se crisper à chaque décharge, et il y en a pas mal. Ils gardent ma femme en sandwich un moment encore et décident de se retirer.

Leurs spermes s’échappent des deux orifices dilatés, coulant sur les cuisses de mon épouse, comblée. Mon copain l’embrasse, la caresse, et lui dit d’aller se laver et se faire belle car elle va avoir de la visite ! Elle est étonnée, mais s’exécute sans contester, de peur de voir arriver des copains de chantier. Pendant qu’elle se rince, il en profite pour appeler l’Arabe de la réception, Ali, à venir tirer un coup, lui précisant qu’il va se régaler.

Ma femme revient et docilement se remet sur le lit, un regard interrogateur à l’adresse des deux noirs. Elle ne s’interroge pas longtemps car bientôt la porte de la chambre s’ouvre sur Ali qui lui jette un regard vicieux. Il s’approche d’elle et sans préambules commence à glisser ses doigts sur le corps livré à sa concupiscence. Anne se crispe sous cette caresse directe de l’Arabe sous le regard des 2 noirs.

Mon copain lui redit « soit gentille avec lui ». L’Arabe rit et dit à ma femme : alors on fait la « salope » avec les 2 blacks et pas avec moi ?

Hein ? Il paraît que tu t’es bien éclatée avec mes potes ?

-Oui, c’est normal, il paraît qu’il faut que je participe !

Il triture les deux seins offerts et puis glisse une main vers la vulve, il précise fortement sa caresse, initiant des mouvements ondulatoires du bassin d’Anne. Il se déshabille en vitesse, et met sous le nez de sa proie une longue queue sombre, veinée, dure. Il la glisse dans la bouche entrouverte, Anne commence une fellation douce mais excitante pour l’Arabe qui continu à titiller l’entrée du con de ma femme. Il ferme les yeux ses sens en émois par cette délicieuse caresse buccale que lui prodigue ma femme, il attr a p e la tête de mon épouse, lui faisant absorber d’un coup ce phallus arrogant qui ne tarde pas à s’épancher dans cette gorge accueillante. Bien ! Lui dit – il, tu as goûté, mon jus, nous sommes assez intimes pour que je te baise maintenant ! !.

  • Qu’en penses tu ?

  • Oui, je veux bien !

Il faut que tu me refasses bander, tu sais pomper, alors vas-y, ne ménage pas ta peine !

Ma femme s’exécute, jouant avec la queue, de la langue et des mains, Ali est aux anges.

Lorsqu’il juge qu’il est en forme, il écarte les cuisses de ma femme comme un compas et s’installe sur elle, l’embrassant à pleine bouche, malaxant les seins rougis par les caresses précédentes, arque bouté sur Anne il la pénètre d’un coup de reins puissant. Il lui attr a p e les cuisses qu’il relève pour la pénétrer le plus loin possible, ce qui arrache des gémissements consentants à ma femme qui se transforment vite en cris de plaisir. Les deux

blacks se sont approchés et font glisser leurs bites sur le corps d’Anne pour se faire rebander. Pendant ce temps pas démotivé l’Arabe lime à fond ma femme, lui glissant à l’oreille des cochonneries, heureux de la posséder aussi bien.

-Tu aimes ma queue ?

-Oui !

-Tu la veux à fond ?

-Ho oui ! A fond, tapes fort, c’est bon !

-T’es une vraie pute, j’aime !

-Moi j’aime ta bite, elle est bien dure !

Au bout d’un moment il se retire et demande à mon épouse de se tourner à 4 pattes, il l’embroche par derrière, félicitant au passage les deux noirs du travail préparatoire qu’ils ont fait. Il pétrit les seins, caresse le dos d’Anne, lançant sa queue en avant, la faisant buter au fond du sexe de ma femme. Il mouille un peu l’anus et utilisant les sucs du con, introduit dans les reins offerts sa longue bite. Il fait des va et vient durant quelques temps et entreprend de faire un con– cul, con-cul, rapide qui déclenche la fureur érotique de ma femme. Devant une telle participation l’Arabe ne peut résister et s’épanche en elle, vexé de n’avoir pu garder le contrôle.

Il se retire d’Anne, lui dit que c’est « une belle salope » (ce qu’elle sait déjà) et qu’il va la dresser ! Il va se rincer à la salle de bains. Lorsqu’il revient il demande à ma femme de le sucer et le caresser, il redevient vite dur et sa bite n’a rien perdu de son agressivité.

Il est prêt à replonger dans cette beauté laiteuse qu’il veut à sa merci. Il place ma femme sur le dos, lui demande d’écarter haut les cuisses, il place ses bras de chaque cotés de la tête de mon épouse et lui demande d’introduire elle même sa queue dans son con.

Ali frémit de joie contenue de sentir cette européenne sa disposition, matée, qui guide son membre dardé et attire le gland dans le repli humide de sa chatte et l’y loge. Il demeure immobile ne terminant pas l’intromission. Dominant du regard ma femme. Voulant voir son degré de soumission. Il a un brusque halètement car, tout à coup Anne, l’enlace, engloutissant d’un trait toute la longueur de la pine majestueuse, l’Arabe rugit.

Il passe 15 minutes sur ma femme à limer son con. Elle se remet à gémir, elle doit être fatiguée, mais elle bouge bien les reins et son cul comme je lui ai dit de le faire. Elle serre ses jambes autour des reins d’Ali, le retenant au profond d’elle-même. Solidement agrippée, balançant les reins à un rythme régulier, avec une application tenace, visant à précipiter le plus rapidement, l’Arabe dans l’ivresse de l’éjaculation. Mais l’homme parvint à se dominer, il veut contraindre l’européenne à se prostituer en toute impudicité. C’est là son triomphe.

En silence mon épouse s’active sous lui, le souffle court, les lèvres pincées. Elle applique ses talons sur les reins de l’Arabe, gardant la bite quelques instants en elle, avant de se dérober, puis de l’absorber à nouveau par les pulsions gourmandes de ses hanches.

Le résultat ne se fait pas attendre, son dominateur éjacule longuement, ravi de polluer généreusement cette « roumi » impudique. Il reprend son souffle et se retire en claquant les fesses d’Anne : « tu sais t’es bonne toi ! On va voir ce que tu feras avec le sénégalais ! »

Ma femme étonnée tourne la tête vers les deux blacks qui lui disent que leur 2eme copain va venir la voir, qu’ils l’ont préparée pour lui. Que je suis au courant de toute façon ! Elle dit qu’elle est fatiguée. Cela les fait rire une fois, de plus.

Elle est là pour être baisée, si elle n’obéit pas elle risque de passer la nuit avec une dizaine de noirs de chantiers. Vaincue, elle hoche la tête en assentiment. En attendant si tu veux te détendre, va te laver le cul et le con pour être plus fraîche quand N’diaye arrivera. Elle ne se fait pas prier, trop contente d’échapper quelques instants à ces blacks en rut.J’entends des bruits d’eau dans la salle de bains, elle prend son temps. Les autres en profitent pour se concerter sur la suite. Ali se rhabille, bien décidé à revenir après le Sénégalais pour en profiter encore. Ils en veulent tous un maximum, étant rare de trouver une aussi bonne baiseuse disponible.

Je suis toujours replié dans mon armoire, à bander comme un taureau. Ma femme revient dans la chambre, le visage plus détendu, maquillée, une grande serviette de bain autour d’elle.

Les deux noirs lui disent qu’elle a bien fait de se faire belle pour N’diaye, qu’il va apprécier. Tout en lui caressant les seins et le cul à travers la serviette. Bientôt des coups frappés à la porte laissent apparaître un grand noir d’environ 2 mètres et 130 k. Il salut ses deux copains et se retourne vers Anne et en sifflant d’admiration « elle est chouette votre petite blanche». J’espère qu’elle est bien préparée et que je pourrais l’utiliser à fond ?

Deux oui en chœur lui réponde. Les trous ont été agrandis ! ! Il s’approche de ma femme immobile « est-ce que ces deux « nègres » t’ont fait jouir ? ».

Elle dit qu’oui en rougissant, honteuse d’avoir pu prendre un plaisir aussi v i o l ent et incontrôlé dans les bras des deux blacks. Elle n’avouera jamais son plaisir, heureusement que j’étais là pour constater. Alors maintenant tu va me faire voir ce que tu sais faire ?

Elle répond un oui !

Il tend les mains vers les fesses de ma femme et l’attire à lui, plaquant sa bouche sur les lèvres d’Anne, pelotant au passage l’entrejambe et les cuisses. Au bout d’un moment il l’oblige à se mettre à genoux et à dégrafer son jean, ce qu’elle fait docilement, avec application. Il lui dit de continuer à le déshabiller, Anne baisse le slip, pendant qu’il retire son tee shirt. Lorsqu’il est nu, impressionnant, il lui met son sexe dans la bouche, Anne commence à le sucer avec sa technique à elle et son application, il prend des dimensions …….. ! ! ! 30cm pour 6 ou 7 de large. La pièce est belle. Ma femme n’a rien vu de tel, elle croyait que celle de Saïd était le maximum, elle est encore surprise et lui dit qu’elle ne pourra pas le prendre en entier, il se marre et lui dit-on verra !

Elle continue à le pomper espérant sans doute échapper au coït en le faisant jouir dans sa bouche. Mais finaud il l’arrête et la fait lever. Il lui ôte la serviette et entreprend de la peloter aux seins, aux fesses, aux cuisses, Il l’admire un moment et la fait coucher sur le lit les jambes bien écartées. Il plonge sa tête vers le nid d’amour de ma femme, appliquant ses grosses lèvres sur le clitoris, le sexe est rouge v i o l acé des assauts qu’elle a subit, il s’en aperçoit et lui dit « la blanche tu t’es bien amusée et on t’a bien limée ». Il s’allonge à coté d’elle et appelle les deux autres pour tenir les jambes de ma femme bien hautes. Il admire un instant ce sexe béant prêt à l’accueillir et cette européenne soumise à ses envies. Il avance doucement son mandrin de la féminité, caresse le clito avec son gros gland, surveillant la respiration de plus en haletante de ma femme, elle lui demande de mouiller l’entrée de ses petites lèvres ce qu’il fait en rigolant.

Puis en deux petits coups de reins s’installe dans l’entrée du vagin. Anne à la bouche pincée, les yeux fermés. Il lui fait ouvrir et voir ce qu’il va lui enfoncer. Et d’un puissant mouvement de reins prend possession de ma femme, lui arrachant un long râle de satisfaction, elle qui pensait certainement avoir plus mal ! Il la pistonne un moment, puis la retourne pour la posséder en levrette, quand il sent qu’elle va bientôt jouir à travers les cris qu’elle pousse, il la remet sur le dos et se couche sur elle, c’est impressionnant de voir cette masse sous laquelle ma femme disparaît presque complètement.

L’on ne voit de mon épouse que ses jambes blanches laiteuses et ses bras ressortir de cette masse noir foncé. Les couilles énormes et pleines battent le périnée, blanc laiteux, résonnant dans tout le corps de ma femme, comme elle aime. Elle glisse une main sous le noir, attr a p e les couilles qu’elle caresse, faisant ressortir l’énorme mandrin de son vagin pour en frotter son clitoris avec le gland turgescent. Puis fait replonger l’organe, l’absorbant au fond d’elle. Je sais qu’elle s’en paye une bonne tranche !Je la connais bien ! .

Le sénégalais ne proteste pas à cette initiative trop content de voir et sentir qu’Anne participe pleinement (c’est le mot) à ce combat lubrique. Elle met ses jambes en écharpe autour des reins de N’diaye, je la vois bouger son bassin et son cul, lui mordre l’épaule, des râles étouffés jaillissent de la gorge d’Anne, dénonçant une protestation offensée qui cache une volupté bouillonnante. Elle serre fortement la taille du noir entre ses cuisses et ne secoue pas la tête pour échapper aux baisers voraces de N’diaye.

Finalement le Sénégalais souille éperdument mon épouse, laquelle accueille cette ultime profanation avec des soubresauts de sa croupe, en poussant des vagissements affolés. Les deux autres écartent les cuisses d’Anne pour faciliter la sortie de leur acolyte. N’diaye bascule sur le coté libérant mon épouse qui est rouge, et reprend son souffle. Il lui demande de le sucer et nettoyer le restant de sperme. Anne s’exécute et au bout de 5 minutes nous avons de nouveau un sénégalais grandeur nature !

Il caresse Anne qui se demande à qu’elle sauce elle va être mangée. La réponse vient rapidement puisqu’il la retourne sur le ventre et que malgré ses protestations se couche sur elle. Les deux autres la maintiennent fermement pendant qu N’diaye glisse sa bite devant l’anus déjà malmené, il f o r c e un peu prend une coulure de sperme dans le con et lubrifie l’entée, puis pousse un bon coup pour prendre position et s’amuser avec elle. Anne qui aime bien se faire enculer est servie au-delà de ses espérances.

Il s’emballe, elle finit par y prendre son plaisir et le lui fait savoir en bougeant son adorable cul. Il ne peut résister plus longtemps et se répand dans les intestins d’Anne. Je vois le sexe de ma femme recracher le foutre du tour précédent, tellement qu’elle doit être comprimée sous la pression que vient de fournir le noir. Il se retire en la caressant tendrement.

Les deux autres excités par ce qu’ils viennent de voir, et reposés veulent encore profiter de mon épouse qui n’a pas la f o r c e de les repousser, ils l’empalent par les deux trous et s’activent si vite qu’en 5 minutes ils se vident dans les profondeurs de ma femme. Elle doit les resucer encore, ce qu’elle fait rapidement c’est le moment que choisi Ali pour revenir.

Il se déshabille et propose un tour à trois que les autres acceptent et ils se disposent l’un au con, l’autre au cul et un dans la bouche d’Anne. Elle est secouée, malmenée, mais continue à exprimer son plaisir d’être asservie aux 3 soudards, N’diaye regardant et triturant au passage un morceau de chair, un sein, que ses comparses laissent apparaître. Ils éjaculent en elle, elle avale une bonne quantité de jus également.

Enfin la laisse tranquille lui disant que je dois venir la récupérer d’ici un moment. Ils s’en vont tous, repus de ce corps merveilleux qui a su les combler. Quant à Anne, elle n’a pas la f o r c e d’atteindre la salle de bain pour se laver, usée par les assauts puissants des 4 hommes. J’attends un moment dans l’armoire et je sors doucement de celle-ci lorsque j’entends le souffle du sommeil d’Anne. Je m’allonge à cote d’elle dans l’attente de son réveil ou je pourrai la prendre dans ses chairs distendues par les délicieux outrages subis.

Un mari heureux.

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